Vous vous interrogez sur la dénomination de l'une des 1644 voies d'Angers ? Quelle est la personnalité, l'événement, le bâtiment ou le lieu-dit ancien auquel elle fait référence ? Ce dictionnaire en ligne vous en donne l'histoire...
Dictionnaire en cours de refonte : un astérisque indique les rues dont les données ont été revues et complétées.
Réalisation : Marie-Luce Fabre, Sylvain Bertoldi
En savoir plus : Les premières dénominations officielles de rues
Doutre Saint-Jacques Nazareth
Censerie (rue de la)
Hommeau (rue de l')
Tertre (rue du)
Tertre-Patriote (rue du)
10/06/1932
Pierre Marie Malsou (Joué-Étiau 1841 - Angers 1917), prêtre angevin.
"Vicaire, puis curé de l'église de la Trinité, il a exercé pendant 51 ans son sacerdoce dans cette paroisse, dont il fut le bienfaiteur" (délibération du 10 juin 1932).
Le principe de donner son nom à une rue de la ville avait été adopté dès 1929, à la suite d’une pétition adressée à la municipalité par l’abbé Bribard (délibération du 20 août 1929).
La rue longe l'emplacement de l'ancien cimetière paroissial de Saint-Jacques ; situé sur le haut du tertre Saint-Laurent, il est utilisé jusqu'au début du XVIIIe siècle.
Voie bordée notamment par l'hôtel Mauvif de Montergon (n° 15-17) et l'hôtel Grandet de La Plesse (n° 9-11). Ce dernier, construit vers 1500 pour Jean de Tinténiac, chanoine de Saint-Martin, est agrandi et aménagé aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il appartient à cette époque à la famille Grandet de La Plesse, qui lui a laissé son nom.
Malsou (rue)